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A 1.225 mètres d'altitude, au sommet de la montagne Boutmezguida qui surplombe cinq villages de la région de Sidi Ifni, une quarantaine de pièges à brume sont installés au flanc des montagnes pour récupérer les précieuses gouttes d’or bleu.
Capter l’eau du brouillard pour alimenter des régions du sud-ouest marocain! Voilà ce qui occupe une originale confrérie de sourciers pas comme les autres. Face aux problèmes chroniques d’approvisionnement en eau que connaissent certains villages reclus du Maroc, une association écologiste propose d’utiliser des attrape-brouillard. Ces dispositifs ont déjà fait leurs preuves en Amérique Latine et dans d'autres pays africains en permettant de récupérer d’importantes quantités d’eau pour un coût dérisoire.
"Moissonner le brouillard", ainsi a été baptisé le projet, inspiré d'un procédé né il y a une vingtaine d'années au Chili, dans la Cordillère des Andes, région également très brumeuse. La technique, mise au point par l'ONG Fog Quest, a permis de prouver la viabilité d’une telle source alternative d’approvisionnement en eau et a déjà été expérimentée dans plusieurs pays, notamment au Guatemala, au Pérou et en Namibie. Elle est pour la première fois introduite en Afrique du Nord.
Les attrape-brouillard tendent leurs filets à flanc des montagnes pour y prendre au piège les précieuses gouttes d’or bleu que la brume y dépose. Ce dispositif présente de nombreux avantages. Peu coûteux, il peut fonctionner pendant quinze ans et garantit une production immédiate d’eau potable, son installation ne nécessitant que quelques jours.
Ce procédé révolutionnaire a changé la vie des habitants de cinq villages du sud-ouest marocain, ces voyageurs de l'eau qui n'ont plus à parcourir chaque jour plusieurs kilomètres pour aller chercher le précieux liquide.
Par Ouardigh Rahmouna
(http://www.le360.ma/fr/societe/video-au-maroc-des-attrape-brouillard-transforment-la-brume-en-eau-43163)
L'unité hôtelière Hyatt Place Taghazout Bay, lancée samedi, est le premier concept du genre de la chaine américaine Hyatt Hotels Resorts sur le continent.
Ce nouvel établissement de 152 chambres et suites, situé à 17 km au nord d'Agadir dans les contreforts des montagnes de l'Atlas, en surplomb de la côte Atlantique, propose à ses clients, tout au long de l'année, une multitude d'activités telles que le surf, le tennis, le deltaplane, la randonnée, le VTT ou encore le golf sur un parcours de 18 trous.
Très engagé dans le développement durable, ce projet fait partie de la stratégie nationale Vision 2020 et met un point d'honneur à la préservation des ressources naturelles, avec à la clé des expériences axées sur la mer, la culture, le sport, la nature et l'éco-tourisme.
Dans une déclaration à la MAP, le directeur général de cet établissement Gauthier Py a affirmé que cette structure propose "un concept un peu différent et assez contemporain où le client se sent bien chez lui avec un service offrant le plus de proximité possible".
"On veut faire en sorte que nos clients soient un peu chez eux et qu'ils y passent le plus de temps possible", a-t-il expliqué, faisant observer que le resort propose des chambres et suites dotées de balcons avec vue sur l'Atlantique, un petit magasin ouvert 24h/24, deux piscines, dont une chauffée, un SPA, deux restaurants, des salles de réunion d'une capacité de 80 personnes, un espace ordinateurs, et plein d'autres services.
La station Taghazout Bay, qui abrite ce nouvel établissement, s'étend sur une superficie de 615 ha longeant une côte de 4,5 km. Ce complexe développé avec une approche intégrée et durable sera composé d'un beach Club, d'une medina, d'un golf, d'un tennis et d'académies de surf. Cette station balnéaire offrira 7.450 lits, répartis sur 9 hôtels de standings et résidences, ainsi que plusieurs évènements sportifs majeurs dans les cinq années à venir.
Il y a actuellement 215 hôtels Hyatt Place dans le monde répartis sur les Etats-Unis, l'Arménie, la Chine, le Costa Rica, l'Inde, le Mexique, le Porto Rico, le Maroc, les Pays-Bas et les Emirats arabes unis.
(http://www.medias24.com/ECONOMIE/ECONOMIE/155790-Inauguration-a-Agadir-du-premier-Hyatt-Place-en-Afrique.html)
L'activité touristique d'Agadir a enregistré une baisse des arrivées et des nuitées au mois de mai par rapport à
la même période l'année dernière. 82.576 arrivées dans les établissements classés contre 83.764 en mai 2014
(-1,42%) et 339.060 nuitées contre 368 199 en 2014 (- 7,91%).
Cette baisse de chiffre s'explique par la baisse importante des marchés émetteurs suivants :
- La France compte 6.448 arrivées (-31,28%) de moins ainsi qu'une diminution de 35 651 nuitées (-32,59%).
-La Russie enregistre moins 866 arrivées (-54,64%) et moins 9 336 nuitées soit -50,62% de baisse.
- La Belgique avec moins 425 arrivées (-15,06 %) et un solde négatif de moins-2 673 nuitées (-13,67%).
- L'Angleterre avec moins 328 arrivées soit -4,47 % et moins 20 nuitées soit -0.04%.
Malgré cette baisse, le mois de mai a connu quelques augmentations au niveau de certains marchés :
- Le marché national a crû de 5 088 arrivées soit un bond de 20,26% ainsi que plus 10 652 nuitées (+17,97%).
- L'Allemagne : plus 1 526 arrivées soit +25,45% et plus 10 176 nuitées soit +4,20%
- l'Arabie Saoudite avec +837 arrivées soit +11,92% et plus 3 331 nuitées soit +25,67%.
La durée moyenne de séjour (DMS) a été de 4,11 jours contre 4,4 jours en 2014 enregistré une baisse.
Le Taux d'Occupation Moyen dans les établissements hôteliers touristiques classés (EHTC) s'est établi à :
47,12% en mai 2015 contre 52,07% à la même période en 2014 (baisse de 9,74).
Concernant le taux d'occupation par type d'établissement :
- 16 établissements (5*, 4*, 2*,1*, Résidence de 3éme catégorie, VVT de 1ère catégorie), d'une
capacité de 7 302 lits ont enregistré un taux moyen de 76,08%.
- 39 établissements hôteliers (5*, 4*, 3*, 2*, 1*, VVT de 1ère et 2e catégorie,
résidences de 1ère, 2ème et 3éme catégorie et MD) d'une capacité de 11.834 lits, ont enregistré un taux
moyen de 45,42%%.
- 32 autres établissements hôteliers (4*, 3*, 2*, 1*, VVT de 1e et 2e catégorie, et résidences de 1e ,2e et 3e
catégorie) d'une capacité litière de 8.455, ont enregistré un taux moyen pondéré de 19,06%.
Un premier semestre 2015 en berne.
L'analyse du cumul des arrivées et des nuitées enregistrées durant les 5 premiers mois de l'année 2015 fait ressortir une diminution de 15 407 visiteurs soit moins 4,24% par rapport à 2014.
363.232visiteurs s'étaient rendus à Agadir durant cette même période en 2014 contre seulement 347.825 visiteurs de janvier à mai 2015.
Pour la même période, la ville d'Agadir perd 181.030 nuitées soit 10,26% de nuitées en moins. Il a été comptabilisé 1.583.076 nuitées pour les 5 premiers mois de 2015 contre 1.764.106 pour 2014.
La Durée Moyenne de Séjour (DMS) durant les 05 premiers mois 2015 n'est plus que de 4,55 jours contre 4,86 pour la même période en 2014.
Le Taux d'Occupation Moyen 5tom° a enregistré une baisse de 10,69% car il s'établit à 46,30% sur les cinq 1er mois 2015 alors qu'il était de 51,85% pour les premiers mois de 2014.
(http://www.medias24.com/ECONOMIE/ECONOMIE/155652-Tourisme-la-destination-Agadir-continue-de-reculer.html)
Le volume des investissements dans la région Souss-Massa-Draâ s'est établi, entre 2009-2015, à 722 millions de dirhams (MDH). 21% de ces investissements ont été alloués aux secteurs productifs et 79% aux secteurs sociaux et annexes, indique un rapport du Conseil régional.
Sur ce montant, le secteur agricole s'est adjugé 10.7 MDH, a souligné le président du Conseil régional Brahim Hafidi, lors de la réunion ordinaire, samedi à Agadir, au titre du mois de mai.
Le projet haliopolis
Le secteur de la pêche maritime a bénéficié d'un montant de 42.5 MDH portant sur la contribution à la réalisation du projet haliopolis, l'équipement de points de débarquement en tracteurs et grues au profit des barques de la pêche artisanale, et le soutien du pôle de compétitivité et de transformation des produits de la mer.
Une enveloppe de l'ordre de 39.80 MDH a été affectée notamment au secteur du tourisme pour le soutien des conseils provinciaux du tourisme (CTP) au niveau de Zagora, Ouarzazate, Tinghir, Chtouka Aït Baha, Sidi Ifni, Tiznit et de Taroudant et l'appui du Réseau régional du tourisme rural (RDTR).
Complexes d'artisanat à Zagora, Tinghir, Taroudant et Tiznit
Le secteur de l'artisanat s'est vu allouer une enveloppe de 19.2 MDH consacrée, entre autres, à la mise ne place de quatre projets de complexes d'artisanat à Zagora, Tinghir, Taroudant et Tiznit, la réalisation d'une étude sur la mise à niveau du complexe de l'artisanat d'Agadir, la requalification du village des potiers à Tamegroute, entre autres.
Le Conseil a aussi alloué un montant de 8.7 MDH à une série d'actions, notamment au profit des porteurs de projets de métiers liés à l'industrie du cinéma, la Ouarzazate Film Commission, et la réalisation d'une étude sur le projet d'un pôle de métiers du cinéma.
Le secteur du commerce et de l'industrie s'est, lui, adjugé une enveloppe de 21 MDH, répartis entre la qualification des zones industrielles d'Aït Melloul, Tassila et de Ouarzazate, et la participation à la création d'un guichet polyvalent pour le soutien des entreprises.
Eau et environnement
Un investissement de l'ordre de 63.4 MDH a été consacré au secteur de l'eau et de l'environnement. Ce montent a été dédié essentiellement à une contribution à des projets d'adduction en eau potable, la réalisation d'études d'assainissement liquide dans 18 centres ruraux émergents, la protection de nombre de zones de la région contre les inondations à l'aide de digues et de barrières en ciment armé.
Côté infrastructures et équipements de base, un montant de l'ordre de 295.6 MDH a été consacré à la réalisation de la 2e tranche du programme PNRR, la réalisation de routes stratégiques, l'élargissement de l'aéroport de Zagora, la qualification des centres urbains et ruraux, la mise à niveau de l'aéroport de Taroudant, la participation à la construction de nombre de routes provinciales et autres gros oeuvres, et au soutien des dessertes aériennes Agadir-Ouarzazate-Zagora.
Construction de 5 centres d'hémodialyse
Le secteur de la santé a bénéficié de plus de 33.6 MDH répartis entre la création d'un SAMU, la mise en place et l'équipement en produits pharmaceutiques de 5 centres d'hémodialyse, l'acquisition de médicaments anti-cancer et le lancement d'un appel d'offres pour l'acquisition de 10 appareils d'échographie et l'achat d'un scanner au profit de l'hôpital de Tiznit.
Quelque 21 MDH ont été consacrés au secteur de l'enseignement pour l'acquisition de 18 minibus de transport scolaire et de plus de 3.000 vélos, l'équipement de 14 écoles communautaires, d'une académie des langues et de l'ensemble des internats du cycle secondaire de la région.
Le secteur des affaires sociales a bénéficié d'une enveloppe de 12 MDH et les médias et la communication de 9 MDH. La sûreté nationale et la protection civile ont été financées à hauteur de 12 MDH. La culture et les sports se sont arrogés un montant global de l'ordre de 126 MDH.
(http://www.leseco.ma/economie/31341-souss-massa-draa-722-mdh-investis-dans-differents-secteurs.html)
300 reptiles du Nil viennent d'arriver au Crocoparc d'Agadir
80.000 visiteurs attendus la première année
Serpents, varans, tortues géantes…les autres futurs hôtes
Ce sont des pensionnaires bien particuliers que la destination Agadir accueille désormais.
Aussitôt libérés de leur cache en bois, les reptiles originaires de Djerba, ont vite pris possession des lieux
Aussitôt libérés de leur caisse en bois, les reptiles originaires de Djerba, ont vite pris possession des lieux. En fait, l’espace a été réfléchi pour accueillir les crocodiles dans un confort de vie réunissant plusieurs éléments importants. Grâce aux chutes d’eau et cascades, l’eau est oxygénée et filtrée à travers les végétaux aquatiques. Comme le crocodile régule la température de son corps en fonction de la température de l’air, à Crocoparc, il peut se rafraîchir dans l’eau, se réchauffer sur de larges plages au soleil ou se protéger dans les terriers. Et c’est exactement ce que ces reptiles d’origine préhistorique se sont empressés de faire, pour le plus grand plaisir d’un public émerveillé, venu assister au lâcher. Des zones de sable ont aussi été aménagées pour accueillir la ponte des femelles.
Crocoparc s’étale sur 4 hectares. Il se trouve dans la Commune de Drarga, à quelques minutes d’Agadir, sur la route nationale n°8. Il est facilement repérable grâce à la tête de crocodile géante qui fait office de porte d’entrée
Mais ce ne sera pas pour tout de suite, les crocodiles étant encore trop jeunes», précise Luc Fougeirol, expert en reptiles. En effet, leur moyenne d’âge ne dépasse pas trois ans. A partir de l’année prochaine, les femelles pondront entre 10 à 15 œufs par an. Et puis de plus en plus, au fur et à mesure qu’elles grossissent. Sachant que la croissance chez les reptiles continue tout au long de la vie. C’est ainsi qu’une écloserie, une nurserie et un laboratoire sont prévus dans les mois à venir. «Si nous laissons faire la nature ici, il n’y aura pas un petit qui survivrait parce qu’il serait mangé par les gros. Pour éviter cela, il faut ramasser les œufs et les mettre en incubateur et ensuite nous faisons naître exactement le nombre dont nous avons besoin», explique Luc Fougeirol. Des œufs fécondés seront aussi mis à disposition des chercheurs qui travaillent sur les embryons. Ceci, en plus d’une salle et du laboratoire.
L’inauguration officielle de Crocoparc a eu lieu samedi dernier, en présence notamment de Mohamed Yazid Zelou, Wali de la Région Souss Massa Draâ, Brahim Hafidi, Président du Conseil régional SMD, Hamid Chennouri, Gouverneur de la Préfecture d’Inezgane Ait Melloul… en plus d’élus et personnalités de la région. Ce nouveau parc d’attraction de 4 hectares, se trouve dans la Commune de Drarga, à quelques minutes d’Agadir, sur la route nationale n°8. Il est facilement repérable grâce à la tête de crocodile géante qui fait office de porte d’entrée. De quoi donner le ton dès le départ.
A Crocoparc, une extension sur près d’un hectare est également prévue pour accueillir d’autres reptiles comme les serpents, les varans ou autres tortues géantes… Une expérience similaire ayant été faite avec succès à Djerba. Néanmoins, sa réalisation à Agadir reste tributaire du succès de cette première tranche qui vient de démarrer.
Fatiha NAKHLI
La production de miel au Maroc est en baisse depuis quelques années et cette tendance devrait se poursuivre si rien n’est fait. C’est la sonnette d’alarme lancée par un apiculteur qui dénonce une nouvelle fois l’usage excessif des pesticides dans l’activité agricole. N’ayant pas d’oreille attentive auprès des autorités de tutelle, certains professionnels se retrouvent obligés de chercher de l’aide à l’étranger.
Nouvelle sonnette d’alarme dans le Souss relative à l’usage excessif des pesticides dans l’agriculture et leur impact négatif sur l’apiculture. « La provenance des pesticides [utilisés par les agriculteurs] est vraiment douteuse, beaucoup disent ici que ce sont des produits de contrebande. Ils viennent en tout cas dans des tonneaux qui ne contiennent aucune étiquette », affirme France 24 Omar Abou Hajer, apiculteur dans le Souss. « Depuis que les agriculteurs ont commencé à les utiliser il y a deux ans, j’ai perdu 90 % de ma récolte. Avant, je vivais confortablement de cette activité et je pouvais produire jusqu’à une tonne par an », ajoute-t-il.
Voilà la réalité de bon nombre d’apiculteurs dans la région du Souss. Même si, parlant de cette baisse de la production en décembre dernier, la Fédération interprofessionnelle marocaine de l’apiculture (FIMAP) invoquait les mauvaises conditions climatiques. Omar Abou Hajer assure que plusieurs entreprises de la région « n’ont même pas produit un kilogramme de miel cette année », en raison de la mort fréquente d’abeilles. Vidéo à l’appui, l’apiculteur montre comment la mort d’abeilles est devenue alarmante.
Il faut dire que l’usage de pesticides dans l’agriculture pose un problème, à l’échelle mondiale, pour l’essor de l’apiculture. Ce qui dérange le plus Omar Abou Hajer, c’est l’inaction des autorités face à ce problème. Contacté par France 24, l’apiculteur français Bernard Nicollet - qui connait bien les réalités de l’apiculture au Maroc – estime que les apiculteurs marocains ont la possibilité de se sortir d’affaire. « La meilleure solution est que les apiculteurs s’éloignent des grandes zones agricoles et se dirigent vers les arbres qui ne font pas partie des grandes cultures intensives, comme le thym, le jujubier ou le romarin, quitte à ce que le goût soit différent », a-t-il confié.
Une solution déjà appliquée par certains apiculteurs avisés. C’est le cas de Hicham Alami basé à Casablanca. Dans un entretien avec Yabiladi en mars 2012, il racontait comment il évitait "de placer les ruches dans des endroits où se trouvent des plantations industriels" , privilégiant les endroits sauvages.
Un étranger vole au secours des professionnels
Lors d’un de ses voyages au Maroc suite au SOS d’une entreprise apicole ayant perdu plus de 3000 colonies en quelques années, Bernard Nicollet a pu identifier qu’au-delà des réalités sur le terrain, la plupart des agriculteurs et apiculteurs marocains, surtout en milieu rural, ont réellement besoin de formation. Il en parle d’ailleurs de manière détaillée sur son site web. Il a ainsi démarré, « grâce au soutien financier privé » un programme de formation cette année, qui se tient à Fès jusqu’à septembre prochain.
Mais au moment où certains apiculteurs reçoivent de l’assistance étrangère, on peut se demander ce que fait le ministère de l’Agriculture. Pourtant, le miel « made in Morocco » est un des produits du terroir mis en avant par le royaume dans les salons agricoles à l’étranger et au Maroc. La troisième édition de la foire du miel en 2012 avait pour thème : " le Miel du Terroir et le développement durable dans le plan Maroc Vert" . Mais depuis, aucune stratégie clairement définie n’a été - du moins officiellement - mise en œuvre pour aider cette filière.
Ristel Tchounand : Yabiladi.com
(http://www.yabiladi.com/articles/printview/35732/maroc-l-agriculture-menace-l-apiculture-dans.html)