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  • : L'Amicale des Gadiris et du Souss
  • : L'association dite l’Amicale des Gadiris et du Souss fondée le 13 juin 2010, à Gradignan, a pour but de s’entraider, de se réunir entre amis, d’organiser des repas et sorties, d’éditer un bulletin.
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13 juillet 2021 2 13 /07 /juillet /2021 13:58

 

Ce dimanche 11 juillet 2021 a été marqué par une forte affluence sur la plage d'Agadir. Longue de 7 km, elle est connue pour sa propreté et le bord de mer reste le lieu idéal pour échapper aux températures caniculaires qu’enregistre le Royaume actuellement.

 

 

 

Profitant des vacances d’été, les citoyens marocains sont venus des quatre coins du Royaume pour profiter de la plage d’Agadir.

 

Fuyant la chaleur à la recherche d’eau fraîche et de sable chaud, la grande majorité des personnes interrogées ont indiqué avoir choisi cette plage du fait de sa propreté, sa longueur ainsi que la proximité des commerces.

 

En effet, longue d’environ 7 km, la plage d’Agadir et le lieu idéal pour trouver de la place tout en respectant les mesures de sécurité sanitaire imposés par le coronavirus.

 

A ce propos, les citoyens ont salué la présence des autorités qui veillent au respect des mesures de prévention, mais aussi celle des services de l’ordre et des nageurs sauveteurs de la Protection civile.

 

D'autres personnes interrogées ont appelé les visiteurs à respecter la plage et à ne pas jeter d'ordures afin de préserver sa propreté, son attrait touristique et de préserver l'environnement.

 

(https://fr.le360.ma/societe/agadir-fuyant-la-canicule-gadiris-et-touristes-se-ruent-sur-la-plage-de-la-ville-241903)

 

 

Une vidéo de la plage d'Agadir du lundi 12 juillet. et toujours l'éternel brouillard

 

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6 juillet 2021 2 06 /07 /juillet /2021 11:32
Pour sa 1ère année d’exploitation, TAGHAZOUT affichera complet cet été

 

L’assouplissement des mesures restrictives de circulation et la réouverture des frontières entré en vigueur le 15 juin dernier ont généré une reprise remarquable du tourisme local et des MRE. Pour sa première année d’ouverture, cette station balnéaire proche d’Agadir avec 6 hôtels ouverts réalisera un taux d’occupation proche de 100% entre le 15 juillet et le 15 août.

 

 

Dix ans après son premier coup de pioche (2011), des démolitions et enfin 15 mois de crise sanitaire, le complexe balnéaire de Taghazout qui s’étend sur une superficie de 600 hectares, dont à peine 10% construit, sera officiellement complètement ouvert vers le 15 juillet. Néanmoins, les travaux ne s’arrêteront pas à cette date et le projet tel qu’il a été conçu à l’origine, ne sera achevé qu’à l’horizon 2030.

6 hôtels ouverts en 2021 et 8 en 2023

D’ici-là, avec ses six hôtels prêtset deux autres qui seront inaugurés dans 2 ans (Hilton en 2022 et Marriott en 2023), la station connaît d’ores et déjà un grand succès en termes de réservations nationales qui constituent l’écrasante majorité de la clientèle attendue jusqu’à septembre.

En déplacement dans la région pour assister à la signature d’un accord historique entre l’ONMT et la compagnie aérienne Ryanair, Médias24 a en effet pu constater l’optimisme commercial des équipes des hôtels qui ont déjà ouvert comme les deux Hyatt (Regency et Palace), le Radisson Blu (ex-Melia), le Tikida Riu Palace, le White Beach et le Fairmont qui s’apprête à ouvrir ses portes le 9 juillet prochain.

 

Rush estival à partir du 15 juillet qui générera un taux d’occupation exceptionnel

 

Plus qu’optimistes sur leur capacité à remplir aux mois de juillet et d’août ces six établissements, les managers des hôtels de luxe, dont certains comme le Hyatt Regency et le Fairmont sont flambants-neufs, nous ont fait part de leur certitude de réaliser un taux d’occupation moyen compris entre 70% et 100%.

Tout en précisant que contrairement aux visiteurs étrangers qui s’y prennent souvent des mois à l’avance pour réserver, la clientèle locale ou même d’origine marocaine opte le plus souvent pour des réservations de dernière minute, nos interlocuteurs s’attendent à un véritable rush de clients nationaux mais également de MRE à partir du 15 juillet jusqu’au 20 août voire jusqu’à début septembre.

Des tarifs compris de 2.000 à 7.000 dirhams la nuitée

Assumant sans complexe les tarifs des nuitées, compris entre 2.000 et 7.000 dirhams, nos hôteliers nous déclarent que la station Taghazout est clairement réservée à une clientèle aisée pour ne pas dire riche.

Ainsi, la chambre la moins chère vous coûtera 1.900 dirhams avec petit déjeuner dans un petit cabanon écolodge en bois pouvant accueillir un couple et un enfant chez Radisson Blu qui a remplacé Sol House.

Au Tikida Riu Palace, il faudra compter un minimum de 3.000 dirhams pour une chambre double avec petit déjeuner et le même prix en pension complète au complexe White Beach avec ses 20 piscines.

Côté grand luxe, il faudra débourser 4.000 à 6.000 DH pour une chambre au Hyatt Regency et pour une nuitée dans une petite villa avec piscine privée au très raffiné hôtel Fairmont de 5.000 à 7.000 dirhams.

Les hôtels de luxe face à la côte atlantique ou méditerranéenne ne désempliront pas en été

 

Si ces tarifs peuvent sembler excessifs et inaccessibles pour la grande majorité des Marocains, il faut cependant rappeler qu’ils n’ont rien à envier avec ceux des grands hôtels de luxe situés sur la côte méditerranéenne entre les villages de Mdiq ou de Fnideq comme le Banyan Tree ou Sofitel Tamuda Bay.

La seule différence notable avec la saison estivale 2020, très impactée par les restrictions sanitaires, est que ce type d’établissements luxueux adossés à la côte Atlantique feront également le plein durant l’été.

 

Les hôteliers espèrent profiter le plus longtemps possible des arrivées de MRE en attendant le retour des touristes

 

Selon plusieurs hôteliers, ce ne sera pas le cas de nombreux d’entre eux qui faute de clientèle suffisante resteront fermés l’été en attendant le retour des étrangers prévu dans le meilleur des cas en septembre.

Avec l’apparition du variant indien Delta qui pourrait aggraver la situation épidémiologique et pousser les autorités à imposer de nouvelles mesures restrictives de liberté, les opérateurs, à qui la crise a appris que rien n’était acquis, espèrent pouvoir profiter jusqu’au bout de l’arrivée des nationaux et des MRE.

Rappelons en effet que la décision gouvernementale de limiter en plein mois d’août la circulation routière, surtout vers le sud, avait littéralement plombé la destination d’Agadir avec pour conséquence de nombreuses annulations de séjours hôteliers …

 

(https://www.medias24.com/2021/07/05/balneaire-pour-sa-1ere-annee-dexploitation-taghazout-affichera-complet-cet-ete/)

 

 

 

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3 juillet 2021 6 03 /07 /juillet /2021 08:39
Tourisme: Ryanair renforce la destination d’Agadir-Taghazout avec de nouvelles liaisons aériennes

La destination d’Agadir-Taghazout sera renforcée par le lancement de nouvelles liaisons aériennes de la compagnie low-cost.

 

En vertu d’un accord stratégique paraphé jeudi à Taghazout, par le directeur général de l’Office National Marocain du Tourisme (ONMT) , Adel El Fakir, et le Chef Exécutif de « Ryanair », Eddie Wilson, la compagnie annonce l’ouverture d’une nouvelle base à Agadir qui sera opérationnelle dès novembre 2021.

Celle-ci bénéficiera de deux avions basés à l’aéroport d’Agadir Al Massira, et s’appuie sur un investissement de 200 millions de dollars et la création de 60 emplois directs.

Avec ces moyens renforcés, « Ryanair » connectera ainsi Agadir à 7 pays européens (Irlande, France, Espagne, Portugal, Italie, Allemagne, Pologne). 16 nouvelle lignes seront ouvertes pour un total de 25 routes desservies et un total de 25 vols par semaine.

Un total de 229.000 sièges à l’arrivée seront ainsi offerts dès l’hiver 2021-2022, accompagnant la reprise de la destination Agadir-Taghazout au moment du pic saisonnier.

Cette capacité, déjà supérieure à celle offerte par la compagnie avant la pandémie (108.000 sièges à l’arrivée lors de l’hiver 2019-2020), continuera à monter en puissance pour atteindre 570.000 sièges à l’arrivée en 2024.

Au départ d’Agadir-Taghazout, « Ryanair » offrira également un accès facilité à des destinations touristiques hivernales (Ténérife, Malaga, Alicante) et à plusieurs city break (Rome, Dublin, Paris, Porto, Barcelone).

Offre spéciale

Pour célébrer l’ouverture de sa nouvelle base, « Ryanai » a lancé une offre spéciale avec des tarifs attractifs.

« Ryanair est un partenaire de longue date de la destination Maroc et joue un rôle clé dans notre dispositif visant à multiplier les connections aériennes points à point entre le Maroc et le monde », a souligné à cette occasion, M.El Fakir.

Pour sa part, M.Wilson a affirmé que « nous sommes fiers d’annoncer l’ouverture prochaine de notre troisième base marocaine. Il s’agit pour nous d’un partenariat historique depuis notre premier vol sur Agadir en 2008 et nous sommes heureux de contribuer au développement de cette région, en tant que destination hivernale leader ».

Cette annonce soutient l’accessibilité de la destination Agadir et son retour en première ligne des destinations les plus prisées. Elle accompagne également l’ouverture effective de la station Taghazout et son offre de nouvelle génération, entre esprit surf, tendance bohème et wellbeing.

(https://www.h24info.ma/economie/entreprises/tourisme-ryanair-renforce-la-destination-dagadir-taghazout-avec-de-nouvelles-liaisons-aeriennes/)

 

 

 

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24 juin 2021 4 24 /06 /juin /2021 07:06

La première station balnéaire du Maroc s’apprête à ouvrir son éventail hôtelier au flot de vacanciers de toutes les régions du pays. La saison estivale approche à grands pas, quoique de ribambelles avant-gardes prennent d’assaut les diverses structures hôtelières, fin prêtes à cet effet. Agadir se fait belle pour cette aubaine tant espérée par les opérateurs du secteur, après une longue hibernation mortifère.

 

 

Il est bien vrai que les travaux entamés à présent, dans le cadre du Programme de Développement Urbain (PDU) 2020/2024, lancé par le Souverain en février 2020, occasionnent de forts désagréments, en ces moments de grosses affluences, notamment sur les lignes des grandes artères destinées au Bus à Haut Niveau de Service (BHNS). Certaines mauvaises langues en diraient que c’est inopportun de procéder à de tels chamboulement de la ville, alors que les concitoyens se préparent à affluer sur la destination considérée parmi les plus prisées du royaume. Néanmoins, il faut bien dire que ces constructions sont soumises à un calendrier défini par les délais impartis et s’accomplissent à des cadences soutenues et dans des conditions idoines de sécurité et de convenance. On s’attendra donc à un déferlement diluvien des marocains sur la capitale du Souss, dès la fin du mois en cours.

Les mesures d’assouplissement et d’ouverture des plages incitent alors les compatriotes à mettre le cap sur la cité en chantier effréné certes, mais avenante comme à l’accoutumée. Cette ruade explosive sera, sans doute, entrecoupée par les fêtes du sacrifice, prévues pour la mi-juillet, mais sera épargnée durant toute l’intervalle aoûtienne. On rappellera au passage que, en ce temps d’allégement, des démarches de motivation ont été entreprises au service des Résidents  Marocains à l’Etranger (RME), mais également les touristes d’autres pays. A ce propos, les réductions tarifaires mises en avant par nombre d’établissements hôteliers, allant jusqu’à 30%, sont à même d’encourager les visiteurs à faire le voyage, sans parler du désir ardent de se faire un plaisir de changer d’air, après plus de 18 mois d’inertie forcée.

Il est bien évident que la capacité litière que renferme la station est en nette régression, après la fermeture de nombre de structures hôtelières et le retard de construction accusé par certains et le délabrement essuyé par d’autres. Cependant, la fonctionnalité de nouveaux hôtels, en particulier le Robinson ainsi que la mise en marche d’unités d’hébergement dans la banlieue de la destination, spécialement à Imi Oueddar, sont de nature à renforcer le volume capacitaire pour les familles en vacances. Toutefois, il faut bien reconnaître qu’un gros effort est à déployer désormais, afin de satisfaire les petites bourses du tourisme interne, car ce dernier s’avère une soupape de sécurité pérenne au secteur, d’autant plus que le tourisme international est souvent tributaire des aléas et les fluctuations universels.     

 

(https://albayane.press.ma/agadir-a-la-veille-de-la-grande-ruade.html)

             

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22 juin 2021 2 22 /06 /juin /2021 12:09
Dans l'oasis de Tiout près de Taroudant (600km au sud de Rabat), la coopérative Taitmatine emploie 100 femmes pour produire de l'huile d'argan. (Photo, AFP)

Dans l'oasis de Tiout près de Taroudant (600km au sud de Rabat), la coopérative Taitmatine emploie 100 femmes pour produire de l'huile d'argan. (Photo, AFP)

Des bouteilles d'huile d'argan sont exposées à la vente dans la salle d'exposition de la coopérative agricole de femmes Taitmatine, à Agadir, au Maroc, le 8 juin 2021. Photo prise le 8 juin 2021. (Reuters)

Des bouteilles d'huile d'argan sont exposées à la vente dans la salle d'exposition de la coopérative agricole de femmes Taitmatine, à Agadir, au Maroc, le 8 juin 2021. Photo prise le 8 juin 2021. (Reuters)

 

 

Asharq Al-Awsat

Dans les montagnes arides du sud du Maroc, les femmes locales récoltent l'huile d'argan, un produit naturel qu'elles utilisent depuis longtemps en cuisine mais qui est devenu très prisé par l'industrie mondiale de la beauté comme traitement anti-âge de la peau et réparateur pour les cheveux.

 

La majeure partie de l'huile d'argan est produite par des coopératives locales de femmes berbères amazighophones autour des villes d'Agadir, d'Essaouira et de Taroudant où l'arganier, qui porte de petits fruits verts ressemblant à une olive, est courant.
 

Pendant des siècles, l'huile, parmi les plus chères au monde, a été extraite en séchant les fruits de l'arganier au soleil, en épluchant et en écrasant les fruits puis en écrasant et broyant l'amande avec des noyaux.

 

L'huile était traditionnellement utilisée comme arôme et trempette savoureuse pour le pain. En tant qu'ingrédient, il est encore courant au Maroc et maintenant également exporté pour l'alimentation.
 

Cependant, son utilisation comme produit de beauté a créé une augmentation de la demande d'huile par les sociétés cosmétiques internationales. Cela signifie également que les groupes locaux investissent dans des emballages plus attrayants. L'huile coûte maintenant environ 30 à 50 dollars le litre localement, mais peut se vendre sur le marché international dans des bouteilles haut de gamme plus petites jusqu'à 250 dollars le litre.

 

Dans l'oasis de Tiout près de Taroudant (600 km au sud de Rabat), la coopérative Taitmatine emploie 100 femmes pour produire de l'huile d'argan, leur offrant un salaire, une garde d'enfants gratuite, une assurance maladie et des cours d'alphabétisation.
 

La coopérative, dont le nom en amazigh signifie « sœurs », a été créée en 2002.
 

Bien que les nouvelles machines qu'elles utilisent pour aider à traiter les fruits aient permis d'accélérer le travail, les femmes doivent encore retirer la coque dure des noyaux à la main en la pilant avec une pierre, avant que le noyau interne puisse être pressé par une machine pour extraire l'huile.

 

« Il faut jusqu'à trois jours de broyage à chaque femme pour obtenir un litre d'huile d'argan », a déclaré Mina Ait Taleb, responsable de la coopérative Taitmatin.
 

"Nous travaillons ici mais nous nous amusons aussi et chantons ensemble", a déclaré Zahra Haqqi s'exprimant dans une pièce où des dizaines de femmes broyaient des noyaux d'arganiers extérieurs à l'aide de pierres.
 

Haqi a déclaré que le travail l'avait aidée à gagner un revenu régulier.

 

(https://english.aawsat.com/home/article/3029166/meet-moroccan-women-making-argan-oil-beauty-industry)

 

 

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1 mai 2021 6 01 /05 /mai /2021 06:58
Le Club Med Agadir annonce son dépôt de bilan après 60 ans de succès
Le Club Med Agadir annonce son dépôt de bilan après 60 ans de succès

Initialement annoncé pour le premier trimestre 2022, le très réputé complexe hôtelier d’Agadir, le Club Med, qui opère à Agadir depuis 1965 et très célèbre jusqu’au début des années 2000, vient d’annoncer son dépôt de bilan plus tôt que prévu. La pandémie du Covid-19 et ses implications sur la chaîne touristique constituent la cause majeure de cette fermeture subite de ce mythique hôtel d’une capacité de 374 chambres, soit 782 lits.

 

Cette fermeture constitue, sans aucun doute, un coup dur pour le tourisme à Agadir, où le parc hôtelier vit une véritable descente aux enfers à cause de la crise du Covid-19. L’hôtel d’Agadir est considéré comme le premier établissement en dur permanent du Club Med sur le continent africain, après la reconstruction de la ville suite au séisme de 1960. Auparavant, le groupe comptait déjà une première implantation à Al Hoceima en 1963.

Selon le Top Management de ce label français de l’hôtellerie, la décision de fermeture a été prise en accord avec les partenaires marocains, Madaëf, branche touristique du groupe CDG. Il explique que ce sont les conséquences de la crise sanitaire notamment la fermeture des frontières des pays de l’Europe, principaux marchés émetteurs. En plus de la crise sanitaire, les managers font remarquer que le Club Med d’Agadir entièrement relooké en 1999 et resté célèbre jusqu’au début des années 2000, ne répond plus au goût de la clientèle.

En revanche, Club Med entend rester au Maroc et projette pour 2024, l’ouverture d’un nouvel établissement premium à Essaouira en partenariat avec le fonds d’investissement panafricain Grit Real Estate Income Group. Le futur complexe d’Essaouira sera doté de 350 chambres pour un investissement de 90 millions d’euros. Club Med poursuit par ailleurs, ses prospections à Taghzaout près de Chbika et dans la nouvelle station touristique d’Aghroud aux environs d’Agadir.

(https://www.actu-maroc.com/le-club-med-agadir-annonce-son-depot-de-bilan/)

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29 avril 2021 4 29 /04 /avril /2021 13:49

 

Voici un très important projet qui consiste à reconstruire à l'identique et en miniature les quatre quartiers, entièrement détruits et disparus de la carte après le séisme du 29 février 1960.

 

Cliquer sur les liens des documents PDF suivants :

 

Le datashow du projet :

Les indications concernant ce projet :

 

 

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19 avril 2021 1 19 /04 /avril /2021 07:05
Guide d’une marche collective - « Sur les traces des Souvenirs »
Guide d’une marche collective - « Sur les traces des Souvenirs »

 

Retrouvons des repères passés ou oubliés.

 

Cliquer sur la photo pour agrandir

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16 avril 2021 5 16 /04 /avril /2021 08:08
ORNA BAZIZ - Tremblement de terre d’Agadir – récit d’une rescapée
ORNA BAZIZ - Tremblement de terre d’Agadir – récit d’une rescapée

 

Une écrivaine maroco-israélienne publie un ouvrage sur le séisme d’Agadir - par M Simo Benbachir / Maroc

 

Livre où elle a raconte l’histoire de la ville, et a exposé des témoignages de plusieurs rescapés qui ont survécu au tremblement de terre de 1960.

À travers cet ouvrage, publié par la maison d’édition *La Croisée des Chemins* et présenté par le musée du patrimoine juif à Casablanca.

Mme Orna Baziz vise à honorer les âmes des victimes de ce désastre, en se remémorant des souvenirs qu’elle raconte à sa petite-fille, celle-ci ayant la soif de tout connaître sur le passé de sa grand-mère.

Le livre présente également des photos de la ville de 1960 à 2020.

L’écrivaine, qui était âgée de 10 ans lors du tremblement, a parlé de la visite de Feu SM le Roi Mohammed V, quelques heures après la catastrophe, accompagné de son prince héritier, feu Hassan II, décrivant qu’ils se sont arrêtés sur les conséquences catastrophiques du tremblement et ont annoncé la reconstruction de la ville.

Mme Baziz a également traité dans son nouvel ouvrage, le choc subi des citoyens de la ville d’Agadir, musulmans, chrétiens et juifs, suite au séisme et la destruction totale de leur ville en quelques secondes.

Mme Orna Baziz est une judéo-marocaine installée à Jérusalem, où elle enseigne l’hébreu et la linguistique dans l’Académie des Lettres. Ses origines sont d’Agadir, où elle a vu le jour en 1949, sous le nom de Régine Riboh, avant d’immigrer vers Israël en compagnie de sa famille, des mois après le tremblement de terre qui a frappé la ville.

Ensuite, elle a voyagé en France pour faire ses études en Sorbonne, et obtenir son doctorat en Littérature hébraïque et civilisation, en 1996.

L’écrivaine a précédemment publié plusieurs articles dans les domaines de la littérature, la culture et la civilisation, plusieurs recherches sur le sinistre d’Agadir, ainsi que la première version de ce livre en hébreu intitulé :

“Hagadat Agadir, récit d’une ville brisée”.

 

Simo BENBACHIR

 

https://www.google.fr/search?q=Orna%20Baziz%20a%20publi%C3%A9%20un%20ouvrage%20intitul%C3%A9%20%E2%80%9CTremblement%20de%20terre%20d%E2%80%99Agadir&tbm=isch&fbclid=IwAR2qnsq4L3dVDitdJqvBEGeaR-WseTv0HwCuk47XCRmxAUXCyyL9-k9ftwg#imgrc=n9uWMfb6R1e5RM

 

VIDEO

 

  https://www.youtube.com/watch?v=bhq7v8AP610

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24 mars 2021 3 24 /03 /mars /2021 08:38

 

 

Les travaux de la première ligne de Bus à haut niveau de service (BHNS) d’Agadir, Amalway Agadir Trambus, ont été lancés mardi 23 mars 2021, à Agadir, lors d’une cérémonie présidée par le wali de la région Souss Massa et gouverneur de la préfecture d’Agadir-Ida Outanane, Ahmed Hajji.

 

Un an après le démarrage du programme et l’attribution des marchés relatifs aux premières phases du projet Amalway Agadir Trambus, le lancement officiel des travaux de la première ligne marque le début d’une grande transformation du paysage urbain d’Agadir pour accueillir la plateforme dédiée à ce moyen de transport inédit, gage d’une montée en gamme de l’ensemble des déplacements urbains de la ville à l’horizon 2023.

 

S’inscrivant dans le cadre du Programme de développement urbain (PDU) d’Agadir 2020-2024, signé en février 2020 sous la présidence effective du roi Mohammed VI, cette première tranche, d’une longueur de 3,9 km, débute du port d’Agadir jusqu’au carrefour El Kamra, en passant par l’Avenue Mohammed V, l’Avenue Général Kettani et l’Avenue Hassan II. A terme, ce tronçon comprendra deux pôles d’échanges et un total de 11 stations implantées avec une équidistance moyenne de moins de 440 mètres pour faciliter l’accès au trambus.

 

Les premiers travaux, relatifs à l’infrastructure de circulation du trambus, seront menés par la société marocaine Générale Routière, filiale de NGE, groupe français de bâtiment et travaux publics. Ils bénéficieront d’une enveloppe de 123,9 millions de dirhams et nécessiteront 14 mois de réalisation pour une date d’achèvement prévue en juin 2022.

 

Porté par la Société de développement local (SDL) Grand Agadir pour la mobilité et les déplacements urbains, ce projet permettra d’améliorer les conditions de vie des habitants du Grand Agadir, de promouvoir une mobilité durable et une requalification urbaine d’un grand nombre de quartiers, tout en intégrant une dimension environnementale et en contribuant à l’attractivité de la métropole.

 

Maître d’ouvrage délégué du projet, la SDL Agadir mobilité, en charge de la réalisation de la première ligne de Bus à haut niveau de service d’Agadir, dispose d’un budget de 1,2 milliard de dirhams pour mener à bien ce projet selon un calendrier conforme aux prévisions du PDU d’Agadir 2020-2024.

 

 

Le planning de ce premier lot prévoit plusieurs étapes. Les travaux préparatoires de dévoiement des réseaux téléphoniques, électriques et d’adduction d’eau sont aujourd’hui en cours d’achèvement et seront suivis de la réalisation de voiries provisoires permettant le basculement de la circulation et des travaux de l’infrastructure façade à façade qui comprendront la réalisation de l’ensemble des ouvrages du projet, à savoir les voiries, la plateforme du BHNS et les quais.

 

 Mohand Oubarka

 

(https://fr.le360.ma/societe/video-cest-parti-pour-les-travaux-de-la-premiere-ligne-damalway-agadir-trambus-235705)

 

 

VIDEO

 

https://youtu.be/5pAmwOo3_lU

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